Voici le retour de J. B. de l’Institut Métapsychique de Paris à qui j’ai adressé « Meurtre en mairie ». Je ne pouvais pas les citer sans leur demander s’ils approuvaient la référence, même si on reste dans une fiction et qu’Antoine est un personnage que j’ai inventé. J’ai dû cependant à regret écourter ce témoignage pour ne pas révéler le nom du ou des assassins… 😉
Votre livre m’a beaucoup plu, je l’ai terminé d’une traite ce weekend.
C’est très curieux comme vous arrivez à maintenir le suspens alors que [ …]
En revanche, pour avoir côtoyé certains édiles, votre peinture féroce de ce milieu n’est hélas pas exagérée. Clientélisme, népotisme, favoritisme, fausses factures et magouilles immobilières, j’en passe et des meilleures ; ce n’est pas un mythe même si, heureusement, nombre d’édiles sont consciencieux et irréprochables.
Les « héros » sont sympathiques à souhait. Vous n’exagérez nullement le « don » de Gabrielle. Certaines personnes fonctionnent effectivement ainsi. Elle en attribue l’origine à l’attitude maltraitante de ses parents qui l’a obligée à développer une forme d’hypervigilence pour survivre : c’est exactement l’explication que donne la voyante Maud Kristen de son propre don dans un de ses livres.
L’IMI a effectivement mis en place un service d’aide aux personnes pour lesquelles les manifestation paranormales (réelles ou supposées) qu’elles subissent posent problème. L’intervention d’Antoine est très vraisemblable.
Je n’avais que de vagues notions sur la sorcellerie moderne, j’en sais un peu plus grâce à vous
Mon seul regret c’est qu’on ne trouve pas de bonnes figues à Paris ! Je ne pourrai donc pas tester la plupart des recettes de mémé Lucette qui m’ont mises l’eau à la bouche…
Bref, une réussite. Je vais essayer de me procurer votre premier ouvrage.
Amicalement
J B