Je viens de profiter de ces quelques jours de repos, imposés par une grosse grippe et une bonne bronchite, pour lire ton ouvrage ; je me suis régaléééééééééé!
J’avais hâte de connaître l’assassin et ne me doutais pas que ce pourrait-être ……. Jusqu’au bout j’ai été bluffé.
Comme je l’ai dit, je me suis régalé, car bien que l’histoire ne soit pas fondée sur des faits réels ou sur des personnages ayant existés, je n’ai pas pu m’empêcher de faire des rapprochements avec des personnes que j’ai connues ou des situations que j’ai rencontrées. C’est tout à fait normal au bout de 42 années passées à côtoyer quotidiennement des élus, des fonctionnaires territoriaux et à œuvrer au sein des différentes institutions chargées de répondre aux prérogatives des collectivités territoriales.
Je pense que si je fais une analogie avec des personnes ou des situations connues, d’autres peuvent également le faire et c’est ça qui est jouissif. Les éléments contextuels racontés dans le livre peuvent au final, s’apparenter à tout un tas d’évènement que l’on retrouve dans les faits divers (magouille, soif de pouvoir, arrangements en tous genre, séduction, le fait de profiter de sa position sociale pour bénéficier de certaines faveurs, la cupidité, etc..)
Je pense à plein d’autres personnages et les situations comme certains lieux évoquent une multitude de souvenirs.
Il en est de même pour certains noms.
Et puis l’amour, les sentiments de ce couple, Roland et Gabrielle, c’est beau, idéal. On en rêverait (si, si c’est touchant).
Quant à Mémé Lucette, elle est toujours là pour régaler ses invités de succulents petits plats. Une mémé comme on rêverait d’avoir.
Heureusement, il y a ses recettes en fin d’ouvrage.
Allez, je te laisse, espérant que tu seras encore inspirée pour de nouvelles aventures où les sorcières des temps modernes apporteront encore leur contribution paranormale aux enquêtes du commandant MARSINO.